Nous quittons Hoi An. 4 jours dont trois de plage suffisent. La ville elle-même est devenu un centre commercial où on trouve toujours les mêmes marchandises. On n'a plus notre couple d'antiquaires avec qui on pouvait passer l'après-midi à parler.

En guise d'adieu, je prends en photos les cages des 3 geais qui chantent devant notre chambre donnant sur la piscine.

Nous avons rappelé notre chauffeur de taxi, le même qu'il y a deux jours (Ty) pour nous y emmener. Son taxi est un 6-7 places et il est tellement gentil qu'il vaut mieux que ce soit lui qui touche la course que payer la voiture de l'hôtel...

La rivière de Hoi An vue du taxi

La campagne de Hoi An

Notre avion à l'aéroport de Da Nang

Le petit bébé de 4 mois de l'avion

Arrivée à Saigon sous une pluie de mousson. Le temps de récupérer nos bagages et elle s'est arrêtée. Nous retournons au Palace Saigon où tout le personnel se plie en quatre, vu la situation. Je n'ai rien contre le personnel et je suis d'autant plus outré que j'apprends que l'hôtel aurait demandé au porteur de signer une reconnaissance de dette de 1000 USD si l'hôtel me remboursait cette somme (dérisoire au demeurant par rapport à ce que contenait mon sac...). Une solution serait que l'hôtel nous offre tout notre séjour (ce qui approche de cette somme) et tout ce que nous consommerons, quitte à faire une fête géante à la piscine du dernier étage (je plaisante!). Comme disait ma mère "Mât cua hon là mât mang" (Perdre un bien plutôt que la vie). Je sais bien qu'il ne faut pas être bonne poire mais j'imagine que pour le salaire d'un porteur vietnamien, cette somme représente une dette importante. Et puis, Bouddha me le rendra, n'est-ce pas ?

La chambre au palace, il y a un coin salon également.