Combien dépensez-vous par mois en fringues ?
300 euros. Je vais dans des boutiques comme Noir Kennedy, rue du Roi-de-Sicile, Paris 4e. Sinon, je me laisse aller au coup de coeur.

A quel genre de femmes plaisez-vous ?
Plutôt rock'n'roll, et brunes exclusivement. Elles ont un côté ténébreux, plus sensuel.

Qui achète vos vêtements ?
Moi, mais je fais toujours les boutiques avec des copines, jamais avec un pote. Je préfère les filles, elles sont plus avant-gardistes.

Pourriez-vous changer de look pour plaire à la fille que vous aimez ?
Oui. S'il le fallait, je serais plus élégant. Mais je n'ai jamais eu de problème.

Quel achat avez-vous amèrement regretté ?
Une veste achetée l'année dernière, réversible, avec un côté imprimé rose très kitsch. Superbe, mais bon... Quand vous l'avez mise une fois, tout le monde l'a vue. 310 euros, ça fait un peu cher la soirée.

Combien de temps vous faut-il, le matin, pour vous préparer ?
Une bonne heure, en comptant la séance de gym et la douche. Pour les vêtements : de la couleur s'il fait beau, du noir s'il pleut. Et ça m'arrive de me changer avant de sortir. (Rires.) J'ai un dressing qui occupe toute une pièce, et j'adore les accessoires.

Qu'est-ce qu'une femme remarque en premier chez un homme ?
Les yeux.

A quel âge le look est-il devenu important pour vous ?
Dès l'adolescence, j'ai essayé plusieurs styles. Je suppliais ma mère pour qu'elle m'achète des fringues. J'avais mis mes économies dans une veste Homecore noire imprimée rouge, cintrée, qui faisait un peu smoking mais dans une matière jogging.

Que portez-vous en dessous ?
Je suis plutôt caleçon, mais j'ai adopté le boxer pour l'esthétisme. C'est mieux sous un jean, surtout taille basse.

Valérie Rodrigue, www.marieclaire.fr