Carla Sarkozy a enfin bouclé son album, qui devrait sortir le 28 août. On y trouvera un poème de Michel Houellebecq, un hommage à son frère disparu et plein d’allusions à son bouillonnant président de mari. « Souviens-toi que jusqu’à ce que tu reviennes à la maison tu m’appartiens », déclame-t-elle en reprenant un tube de Bob Dylan.

Désormais « tout est rentré en ordre » a expliqué au pays Nicolas Sarkozy au cours de l’entretien diffusé jeudi 24 avril en direct à la télé, en évoquant sa vie privée quelque peu agitée de ses derniers mois.

Et c’est un fait que les derniers effluves du si bref passage de Cécilia, ex-Sarkozy, au palais de l’ Elysée sont en passe de disparaître. L’une de ces ultimes traces était la musique d’attente du standard de l’Élysée et elle a été changée. C’est Cécilia qui avait choisi la suite Asturias, œuvre de son arrière grand père espagnol Isaac Albéniz. L’entourage du Président a estimé qu’il était temps de la remplacer et a opté pour la Symphonie fantastique de Berlioz. Une oeuvre composé en 1830 et dans laquelle le musicien exprime un amour désespéré pour Harriet Smithson, une belle et jeune actrice anglaise.

Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait évidemment être que fortuite…

Mais le must, le sel de son album est ailleurs : il serait rempli d’allusions à son histoire d’amour avec son bouillonnant président de mari. La chanteuse lui déclare sa flamme à travers un tube des années 50 du célèbre chanteur américain Bob Dylan You belong to me (tu m’appartiens). Une déclaration qu’elle a adapté aux circonstances . Ainsi « regarde la pyramide le long du Nil (…) Vole au- dessus des océans dans un avion argenté, mais souviens-toi que jusqu’à ce que tu reviennes à la maison tu m’appartiens ». Voilà un mari-Président bien averti…

Mais patience, patience, il va encore falloir attendre jusqu’au 28 août, la sortie du single pour pouvoir savourer cette pure merveille. Longtemps mobilisée par le bouclage de cet album, Carla est désormais totalement disponible pour mieux se consacrer à ses obligations de première dame. Elle compte désormais installer ses bureaux dans l’aile qu’occupait autrefois Bernadette Chirac. Plus présente donc et à n’en pas douter de plus en plus influente, comme le laisse présager cette réflexion au chef de l’État : « laisse dix secondes à tes interlocuteurs. »

Elle a même secrètement conduit Nicolas chez l’une de ses amies africaines. Afin que celui-ci puisse découvrir - sans Ray Ban ni Rolex - les conditions précaires dans lesquelles vivent une partie de ceux qu’il gouverne. www.bakchich.info