A l'Opéra de Monte-Carlo, Anna Ventura vient de réveiller la Pavlova et La Mort du Cygne à travers D'Annachronique... Pavlova Moi, qui invite à la rêverie et à la réflexion pour relire la légende à travers un héritage artistique et les technologies de l'image. Evocation critique qui rappelle l'univers déjanté de Pedro Almodovar et hommage passionné rendu au Cygne chorégraphié par Michel Fokine en 1907,  la pièce décline à l'infini la Pavlova,  sur fond de musique électronique et par le biais d'images projetées qui subliment le mouvement, la forme et la chair. Le talent de la danseuse se mêle à la magnifique création graphique, tout en anamorphoses et techniques de camouflage, pour livrer une pièce originale et forte. Lire la suite http://www.lefigaro.fr/culture/20061212.FIG000000454_nouveaux_espaces_de_la_ballerine.html