Le sac de sport joue les it bag
Le sac de sport s'est transformé : en flirtant avec la mode, il est devenu un objet hybride, plus urbain que jamais. Un atout certain pour vaincre les réticences de la gent masculine à l'égard de cet accessoire.
Dior, une création Kris Van Assche.
Le sac de sport est a priori le plus simple des objets et sa fonction clairement définie : le transport des effets nécessaires à la pratique d'une activité physique. On l'imagine donc protéiforme, adapté à l'exercice envisagé. Il le fut ; il peut encore l'être. Malles de polo sur mesure ou sacs de Nylon accueillant dix raquettes de tennis existent toujours. Mais les Porfirio Rubirosa et Mats Wilander sont une espèce en voie de disparition. L'homme urbain et actif concentre désormais ses efforts sur un entretien en salle. Dès lors, le réceptacle des accessoires de cette servitude volontaire évolue. Il est ramassé pour accueillir un léger change, une paire de chaussures, une trousse de toilette et pour se ranger dans les casiers de vestiaire toujours trop étroits. Afficher son dynamisme physique est un avantage certain dans la jungle professionnelle : le sac suit son propriétaire tout au long de sa journée de travail. Oubliés les fourre-tout informes. Vive les modèles ayant de la tenue, bien souvent issus de la maroquinerie de voyage, se transformant en sac de (petit) weekend... Gilles Denis lire la suite www.lesechos.fr/luxe/special/300272245.htm
Dunhill porté main ou en bandoulière.
Un Jour, un Sac : à monter soi-même, poignées et cabas interchangeables. Concept imaginé par François Rénier.
Tresse de cuir chez Bottega Veneta.
Camille Fournet, forme polochon en crocodile et Nylon.