Le monastère d'Erwin Wurm
Authentique et rigoureuse, la façade du château de Limberg. Ici, jusqu’à la taille de haies, la courbe n’a pas droit de cité. © Reto Guntli
Dans le salon, une extrême sobriété pour accueillir quelques pièces triées sur le volet. À gauche, le bureau et la chaise sont signés Erwin Wurm. Derrière, la chaise longue de George Nakashima date de 1951. À droite, au premier plan, une petite table en noyer de Carl Auböck, une chaise de Jean Prouvé, la Zig Zag de Gerrit Rietveld et, confrontant styles et époques, une petite toile sous verre d’Alighiero Boetti, un Warhol… et un poêle baroque en faïence. © Reto Guntli
Dans le salon, le canapé dessiné par Erwin Wurm est entouré de quelques classiques. De gauche à droite, la chaise Zig Zag de Gerrit Rietveld, une chaise et le fauteuil Visiteur de Jean Prouvé. Lampadaire à socle de céramique (Marshall Studios) et suspension Moon Lamp de Verner Panton. Le grand tableau est du peintre italien Alighiero Boetti. © Reto Guntli
Un petit salon sous les lignes croisées de la voûte. Le buffet et le canapé sont des pièces vintage chinées, la table basse est de George Nakashima. © Reto Guntli
Dans la salle à manger, des fragments de fresques anciennes ont été mis à jour. La grande table filiforme Synapsis de Jean-Marie Massaud (Porro) est entourée de chaises DSW de Charles et Ray Eames. Le lustre P-Light est de Piero Lissoni (Porro), la statue provient d’une église gothique française. © Reto Guntli
Derrière une sculpture petit format d’Erwin Wurm, un dessin de Joseph Beuys. © Reto Guntli
Dans une des galeries de l’ancien monastère aux basses ogives croisées, Anger Bump, en pull rose, et l’énorme The Artist who Swallowed the World, pièces emblématiques de l’artiste. © Reto Guntli
Photos et texte by courtesy of AD Magazine